Tant va la LCA à la librairie qu'à la fin elle se ruine
Largo Winch,album 9, "Voir Venise...", par Van Hamme et Francq, éditions Dupuis
Depuis plusieurs semaines, restriction budgétaire oblige (c’est la crise mes bons amis, c’est la crise), il m’est interdit de dilapider l’argent du ménage… « En ces temps que le marasme économique foudroie, aucun achat déraisonnable tu ne feras », pourrait être notre maxime… Mais depuis quand l’achat de livres constitue t’il un achat déraisonnable ? Hum, je vous l’demande ! Néanmoins, parce qu’il faut parfois concilier budget serré et biblio-addiction déclarée, il faut savoir ruser.
D’aucuns diront, mais va dont en bibliothèque ! Ceux-là ont parfaitement raison ! Mais pour une raison étrange tout autant qu’obscure, je n’ai pas le réflexe… Ce sera peut-être plus facile à envisager lorsque j’aurai changé de ville (hiiiiii ça c’est pour bientôt !! le déménagement approche mais je vous en reparlerai… ^_^). J’ai donc choisi de dilapider un peu mais pas trop en fouinant dans les bacs d’occasions de ces bons vieux Boulinier et Gibert Jeune du boulevard Saint Michel.
Ah bonheur, excitation, plaisir ! Chez Boulinier je me suis (légèrement) faite remarquer en me contorsionnant en tout sens pour extraire les livres cachés dans les rayonnages du bas (pas facile d’atteindre ceux qui sont tout au fond des cinq rangées de livres additionnées !). Au final, je suis revenue à la maison chargée mais ravie. Mon butin, cette fois, n’est constitué que d’ouvrages de littérature jeunesse, notés ou nom sur les blogs. Mais à 3 euros le bouquin chez Boulinier, on n’y réfléchit pas à deux fois ! Chez Gibert Jeune les occaz’ sont un poil plus chers quand même, je me suis donc restreinte (ah caverne d’Ali Baba, pourquoi n’ai-je pas pensé à dévaliser ces rayonnages plus tôt !).
Voici le résultat :